(Saison 2 ) 4h30 Vautours

Nombre de messages : 23 Date d'inscription : 16/11/2008

Spencer marchait d'un pas presser dans les rues adjacente, il entendait des bruits de pas derrière lui, il n'avait pas peur qu'il y est une vrai personne, mais peur que cela soit des hallucination. Il ne voulait pas devenir comme cette mère qui passait son temps entre cri et médocs. Il l'avait aimé, c'est vrai mais trés vite il a su que c'était a sens unique et a donc oublier toute possibilité d'aimer quelqu'un. Un jeune homme de son age a connait des déceptions, lui il a préféré ne même pas entrer dans se tourbillon qui ne te rend pas plus fort mais plus faible.. Il l'avait trés vite compris. Il a toujours su vivre seul, mais il était vrai que cette solitude lui pesait de temps a autre, elle lui persait quand ce dernier était en manque de sa méthadone. Normalement il aurai pu s'arrêter, mais sachant ce qu'il l'attendait, il espérait ainsi pouvoir échapper a la gravité. Il lui manquait rien, disons simplement qu'il n'avait pas envie de se retrouver face a la dure réalité. Il était seul, il avait abandonné sa mère dans les mains d'un Hospital qui passait leur temps a la gaver de médocs. Il était assez froid quand il s'agissait de sa mère, il ne l'avait pas oublié, mais avait prit ces distance, de toute façon elle était trop droguée pour comprendre ce qu'il avait fait. Il n'avait aucun remords et en quittant ainsi si précipitamment Chicago, il avait couper les ponts sans même que la principale famille ne soit au courant.
Dans un fracas terrible il entra dans le bar, il se mit en face du comptoire, les pas résonnait toujours, un petit peu d'alcool pour s'assommer et ne plus les entendre :

- Un whisky sec s'il vous plait !

Sa voix était comme torturé, comme coincé au fond de sa gorge, il baissa la tête pour déglutir avec quelque peu de difficulté. Il se retourna vers la porte quand il cru l'entendre se claquer. Non, elle n'avait pas bouger, c'étais le manque et la folie qui l'envahissait... Il était coincé... Il regarda son verre et le descendit d'un trait. Quand il l'eu finit, il fut calmer. Il soupira, soulager de voir ces crises s'arrêter. Il avait maintenant la solution, jamais il ne devra être clean... C'était quelque chose qui le satisfaisait pleinement. Il en recommanda un autre verre, ces hallucination cessèrent, un large sourire se dessina sur ces lèvres...